Nous avions conscience que notre "lumpen-bourgeoisie" de part le périmètre qui lui était dévolu pour mener à bien sa mise en coupe réglée des richesses du pays avait besoin, comme la terre aride l'eau bienfaitrice, de l'appui des capitaux étrangers des multiples multinationales, des "molarchies" de la péninsule arabique et de puissance régionale (Turquie).

Depuis trois ans, c'est à une véritable braderie que l'on assiste. Le secteur lié à "la crotte du diable" aiguise les appétits et on s'aperçoit que notre "classe politique" sert de relais à ces affrontements.

Rien que l'épisode qui a vu l'intervention des lobbys pétroliers, en pleine rédaction de notre "constitution" pour y amender le texte prévoyant un minimum de transparence des contrats signés au nom de la collectivité renseignent sur leur puissance et leur influence.

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