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C’est la collusion entre le monde économique et le monde politique qui inquiète : quand le grand gourou Rached Ghannouchi, fait du pied à l’UTICA, il est tout à fait normal de retrouver 9 membres de l’UTICA inscrits sur les listes électorales du mouvement Ennahdha. Idem, du coté de Nidaa Tounes où Moncef Sellami, Selma Elloumi Rekik ou encore Mounir Hamdi viennent garnir le peloton de “potentiels députés” à double casquette.

Cette connivence politico-financière n’est pas sans rappeler un passé proche où la politique économique du pays était calculée en fonction des intérêts privés d’une oligarchie plus puissante que jamais.

Lire l'article de Yassine Bellamine, L'UTICA, premier parti politique de Tunisie ? sur le site Nawaat