Entre désespoir et révolte, les habitants sont en stand-by. Tout en calmant les jeunes qui se radicalisent de plus en plus, depuis le 14 janvier, les habitants et militants syndicalistes de Redayef continuent à demander un dialogue fructueux avec les autorités afin de soulever les revendications essentielles de la ville et de toute la région. La balle est ainsi dans le camp du prochain gouvernement et du nouveau parlement qui devront affronter le plus grand challenge de l’histoire de la Tunisie, une réelle transparence -cette fois-ci prescrite par la Constitution- au niveau de la gestion des richesses naturelles. Cette même transparence qui devrait servir la répartition équitable des richesses en question.

Lire l'article de la rédaction de Nawaat, Redayef, la ville aux espoirs trahis !