Au lendemain de l’attentat du musée du Bardo, il s’avère que la coopération proposée par le gouvernement français au « pays qui a engagé le printemps arabe » vise des contrats financiers en matière de sécurité et de renseignement, de plus est, payés par un tiers, à savoir les Emirats Arabes Unis. Quant aux dettes tunisiennes, il ne s’agit nullement de les éponger, aussi odieuses soient-elles, mais de faire semblant de les convertir à nouveau pour les beaux yeux de la Tunisie. A quelques exceptions près, le traitement médiatique français de ce ratage politique annoncé fut étonnamment consensuel.

CazeneuveTunis.png.jpg Brochette de Démocrates à l'aéroport de Tunis-Carthage sous le précedent gouvernement de "technocrates neutres"

Lire l'article de Nadia Haddaoui paru sur le site Nawaat sous le titre France/Tunisie : Ces couacs diplomatiques et médiatiques qui n’en finissent pas !