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Les contemporains d'un désastre mesurent rarement la proximité du gouffre. Face à l'assurance d'une victoire de Macro III le Petit le 7 mai, Médiapart déchire la gauche. Dès 20h, Edwy Plenel et son équipe, Philippe Corcuff et Philippe Marlière essaieront de faire oublier aux abonnés gogos un mois de travail de propagande éhontée de ce média pour FAIRE CROIRE que le FN était aux portes du pouvoir et faire valoir ses choix, résolument de droite et anti-sociaux, de start-up Mitterrandienne.

Avec les compliments du Concierge

Bonus

Médiatarte, bien sûr !

Dans un article intitulé De la prise d'otages, Frédéric Lordon écrit " Le Monde se met en devoir de lire le Trotsky des années trente pour en faire un usage anachronique sans vergogne, doublé d’un dégoûtant brevet de moralité politique". Le concierge a répondu : Le Monde l’a trouvé chez Plenel. Un mois que ça dure. La presse macroniste est un janus moustachu. Le Monde est discrédité. Pas Mediapart. Car Mediapart, c’est le QVM[1] moustachu qui s’est refait une virginité. Avec ce à quoi le QVM refusait tout droit de cité comme mine de capital symbolique propre à créerr la croyance en Médiapart... Et à dissimuler que Mediapart n’est pas moins moustachu que le QVM de l’époque. Et c’est la même moustache. Et vous l’aviez dit, et tellement bien dit. En temps réel, comme au sujet de la Grèce. Il aura manqué 600 000 voix à Mélenchon. Qui avait fait le choix de draguer le centre du Koursk (le PS). Plutôt que de proposer de renverser la table en promettant un référendum d’activation de l’art. 50. Ce pari était celui qu’il pouvait tenir. 600 000 voix... Quel média a fait la différence ? Pas les médias que vous citez. Mais le QVM numérique moustachu. Déployant sa propagande en faveur d’Hamon. Et aujourd’hui en faveur de Macro. Affichant la mère Maquerelle en pleine Une depuis des semaines. Qui est donc responsable du Triomphe du NéolibéralismeTotal (TNT) ? Pas Vivagel. Médiatarte, bien sûr !

Notes

[1] "Quotidien Vespéral des Marchés", nom donné par PLPL au journal Le Monde sous la direction de Plenel, Colombani et Minc se ruant en acquistions neuneues drogués à la fusion acquisition et au rêve européiste de grand groupe de dimension internationale, ce qui aboutit à la destruction du journal fondé par Beuve-Méry