Depuis la proclamation de la République Perverse-Narcissique de l'Union européenne (RPNUE) du bas d'une pyramide, il se confirme qu'une secte DRHoïde bien étrange entend livrer la population à une "exploitation sans limite"... Que ses membres en fassent les frais, comme on en a déjà eu écho, vaut toutes les démonstrations... (Le Concierge)

Concilier vie privée et engagement politique oblige à faire des sacrifices. Les proches d'Emmanuel Macron, ceux de la première heure comme les nouveaux venus, mesurent la difficulté de la tâche. Derrière un président hyperactif, qui travaille beaucoup et ne dort que quelques heures par nuit, la troupe des conseillers ministériels et des élus de La République en marche tente tant bien que mal de suivre le rythme. Au risque de tirer un trait sur la vie personnelle.

« Je sais que mon couple ne résistera pas à mon engagement auprès d'Emmanuel, mais c'est ainsi », disait à L'Opinion un proche du président, quand il était encore ministre de l'Économie. « J'ai disparu de ma vie privée. C'est dur. Je me suis effacé derrière une cause. Et cette cause, c'est lui », assurait Christophe Castaner, un fidèle du chef de l'État, au Parisien en novembre dernier, avant de prendre la tête de LREM.

À Noël, il va y avoir beaucoup d'ultimatums familiaux

Conséquence des nuits à rallonge à l'Assemblée nationale et d'un agenda ultra-chargé dans les ministères, « on est parti pour un nombre de divorces sans précédent », alerte François-Michel Lambert, député LREM des Bouches-du-Rhône. « À Noël, il va y avoir beaucoup d'ultimatums familiaux, genre Si tu y retournes, je te quitte. On va avoir des surprises en janvier. Il y a un conflit entre la vie familiale et la politique telle qu'elle est conçue aujourd'hui », souligne Bruno Bonnell, député de la majorité dans le Rhône.

L'Opinion rapporte qu'un membre de l'entourage d'Emmanuel Macron à Bercy, puis dans l'équipe de campagne du futur président, est confronté à une crise familiale ces derniers jours. Son couple n'a pas survécu aux cadences infernales. « Il y a des cellules familiales en voie d'explosion parmi les députés parisiens, indique un élu de la capitale. Mais les plus touchés sont les députés de province, qui passent toute la semaine à l'Assemblée, le vendredi jusqu'à pas d'heure et reprennent le train samedi à l'aube pour rentrer dans leur circonscription et revoir leur famille. »

Extrait d'un article du Point.