greekcrisis.PNG Illust. "Katerína Notopoúlou, ministre... bimboïde. Athènes, août 2018" GreekCrisis

Mais il y a aussi, le... pire de cette culture néohellénique, redoutablement vacillante. Le pseudo-gouvernement de la marionnette Tsípras vient d’être partiellement remanié, il faut dire dans l’indifférence, ou sinon, sous le sarcasme du peuple privé de son destin. Nominations hétéroclites, entre jeunes femmes “bimboïdes” et qui s’affichent de la sorte très volontairement pour en rajouter (Notopoúlou), ou encore, entre hommes et femmes très largement compatibles Sóros. Du personnel politique voué... à la destruction de la culture, de la société, comme de la nation grecque. Telle est singulièrement, la nomination de la PASÓKienne Myrsíni Zorbá au ministère de la Culture.

Il s’agit de la compagne de l’historien Antónis Liákos, connu pour incarner le patriarche actuel du révisionnisme “décoloriste” de l’histoire grecque, poulain en son temps du Premier ministre du PASOK et de Berlin Kóstas Simítis, et enfin depuis 2012, mentor alors très familier d’Aléxis Tsípras, un habitué des ateliers très rentables des modalisateurs.

Comme le remarque Státhis Stavrópoulos, caricaturiste et journaliste de la trop vieille gauche, c’est un gouvernement où les anciens PASÓKiens du cercle de Simítis détiennent alors une place de premier choix, à l’instar de Liákos et de sa femme, Zorbá. C’est le ministère de la Culture, c’est-à-dire, “la culture grecque aux mains de Sóros”, précise Státhis Stavrópoulos, “To Pontíki”, le 30 août.

Sans parler du cas l’indescriptible Katerína Papakósta redevenue ministre, une arriviste, ancienne député et même ministre de la supposée droite Nouvelle Démocratie, qui en rajoute à l’arrivisme et au ridicule ambiants des criminels Syrizístes. Papakósta, dont la dextérité politique se résume au remplissage régulier et généreux de sa seule poche, elle s’est même présentée à la cérémonie d’investiture accompagnée par sa fille, autre jeune femme dans le vent actuel volontairement “bimboïde”, (presse grecque de la semaine)

En quelque sorte, “nos politiciens, hommes ou femmes, incarneraient très exactement ces prostitués à la solde des violeurs et autres occupants escrocs venus de la mondialisation, Mitsotákis de la relève supposée prochaine compris.” Tel est le discours d’une bonne partie du peuple d’en bas, forcément d’en bas, y compris sur les terrasses des café du Pirée donnant face à la mer.

Ainsi va la vie et la mort au pays maritime, entre vents et surtout marées. Dans la série imaginaire si chère au bouffon politique Tsípras, “la Grèce sort du régime de la Troïka”, le gouvernement vient d’annoncer la mise en place prochaine d’un mécanisme de recensement des tous mes biens meubles comme de l’immobilier des Grecs (voitures, embarcations, motos, meubles, œuvres d’art, bijoux etc.), presse grecque, septembre 2018.

Ceci, histoire d’instituer très officiellement un futur nouvel impôt sur l’ensemble des biens que détiendrait encore le bien bas peuple, en somme, c’est une disposition impériale et totalitaire exigée depuis un moment par le FMI, dans le but de tout contrôler... et sans doute un jour de dépouiller les peuples indigènes... alors jusqu’au bout.

Extrait de "Pays maritime" publié par Panagiotis Grigoriou sur son blog Greek Crisis

Lire aussi, au chapitre "Sollersiennes", la Ministre bimbo de la destruction des droits des travailleurs...

Female power ??