Antonis Samaras, le premier ministre grec, a annoncé le 9 décembre que les élections présidentielles seraient avancées de deux mois et se dérouleraient le 17 décembre. Le premier ministre a également confirmé la candidature de l'ancien commissaire européen à l'environnement Stavros Dimas, appuyée par le gouvernement. À Bruxelles, la Commission a pris une mesure sans précédent en annonçant officiellement son soutien à Stavros Dimas.

Le président Juncker a indiqué durant un débat télévisé en Autriche que « les Grecs savent très bien ce qu’un mauvais résultat des élections signifieraient sur la Grèce et la zone euro », avant d'ajouter qu'il préfererait que « des visages connus soient élus», une référence évidente à l'ancien commissaire européen.

Dépêche Euractiv