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Depuis plusieurs décennies des personnes se sont installées en Ariège avec de très petits moyens, parfois même, pour commencer, dans des abris de fortune. Ces histoires, pour exotiques qu’elles puissent paraître, ont en commun le désir d’autodétermination, chose que nos politiques urbaines actuelles ne peuvent intégrer ni satisfaire dans leur logique planificatrice de gestion.

Parmi ces migrant/es, certain/es, ont choisi des coins reculés pour y mener une petite vie tranquille en retapant des granges, vivant en tipis, cabanes, yourtes, construisant leur vie avec les moyens du bord. D’autres ont continué des vies itinérantes trouvant refuge en Ariège entre deux saisons ou deux voyages. Il y a aussi celles et ceux qui ont décidé, ces dernières années, d’utiliser les espaces abandonnés de la ville ; ces interstices urbains qui n’attendent qu’à revivre après des années d’incompétence et de manque d’imagination des élus locaux.

C’est le cas des habitant/es du Palmier qui attendent d’être jugés pour avoir osé prendre l’initiative de refaire vivre cet espace sans l’autorisation de ceux qui ont peur de la nouveauté, de ceux qui ont peur de voir leur pouvoir diminué.

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