Le sens du "Non"
Par Le concierge du Musée le vendredi 3 juillet 2015, 11:49 - Quatrième nuit de Walpurgis - Lien permanent
L’histoire avance, l’hystérie en plus. La propagande, la terreur exercée par le système et ses réserves, ainsi que la lutte des classes... et des clashs atteignent désormais le grand paroxysme. La société grecque n’avait d’ailleurs pas connu un tel clivage depuis le Coup d’état para-parlementaire, initié par le Roi en 1965, voire depuis les années de la guerre civile (1944-1949). En cette semaine de l’apocalypse (le mot signifie autant la découverte en grec moderne), les derniers masques sont tombés.
Nous sommes encore en ce juillet 1965, où, sous la pression de l'armée, le jeune roi Constantin II destitue Georges Papandreou après la tentative de ce dernier de se placer à la tête du ministère de la Défense.
Jeudi (2 juillet), Martin Schulz, président du Parlement européen, valet de la bancocratie et du nazisme bleu des institutions européistes, exprime au quotidien allemand “Handelsblatt” (cité par le quotidien grec “Avgí”) son souhait “de voir la fin de l'ère SYRIZA en cas de victoire du 'Oui' aux reformes, pour qu'un gouvernement de technocrates puisse être formé”. Une telle tentative de Coup d’État, à peine masquée est cours en ce moment, orchestré par Martin Schulz, la Troïka en général et semble-t-il... l’Axe franco-allemand en particulier (sauf si il y aurait enfin divergence), avec... l’aimable participation des figurants du système politique et (économiquement) mafieux de la petite Hellade.
Lire la suite de l'article de Panagiotis Grigoriou sur son blog Greek crisis